dimanche 17 juillet 2011

Pump up the jam.

Daniel Radcliffe posant pour la pièce "Equus"...




Harry Potter me fait monumentalement chier. Voilà, c'est dit. Après m'être enfilé 7 tomes, dont les 3 derniers achetés chez Waterstone pour gagner du temps sur les traducteurs, et fini le 6 en larmes (je suis TRÈS bon public), les dernières pages du 7 m'ont juste arraché une moue de dégoût et d'incrédulité. Un happy ending über-américain lamentable, du miel dégoulinant des pages sur mes genoux, un sourire confiant, le regard mystérieux et tourné vers l'avenir : je dis non. Il me fallait du sombre... mais Hermione roule une pelle à Ron. Il me fallait des forces du mal bien résistantes... mais Rogue est un gentil. Il est évident que satisfaire un lectorat aussi important après tant de tomes relève de l'impossible, mais là, J.K a choisi pire que la facilité. Où sont passés les murs de Poudlard, suintant d'humidité et d'esprits diaboliques, merde? Et voir ces gosses camper devant les cinémas pour l'avant-première, le front frappé d'un éclair et les fausses lunettes sur le nez, ça me fait penser que je vieillis. Au fond, c'est peut-être simplement de l'envie.

1 commentaire:

  1. Harry Potter, c'est une fourberie de connerie, bienvenue dans la réalité ou même la fiction peut être chiante !

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